Comparez le thème. Top 183 des meilleures répliques sur Femme (Audio) Les meilleures citations et phrases sur les femmes , répliques d'humour, amour ou misogynes, notées par les internautes, extraites en mp3 des dialogues de films célèbres en français. Vers 1600, c’est le règne des contes, des farces et des fabliaux, genres littéraires hérités du moyen-âge : l’on s’y moque des femmes et de leurs multiples défauts, et des maris trompés. Arnolphe, interprété par Bernard Blier, y était présenté comme un vieil homme volontiers libidineux, capable à l'occasion de brutalité, mais dépourvu de réelle méchanceté[62]. »). Il s'agit sans doute d'une citation et d'un hommage de Robert Marcy à Jouvet dont il fut l'élève. Mon - Fri - 10:00 - 17:00 PST 1. L'École des femmes reprend un certain nombre d'éléments dramatiques propres au genre de la farce que Molière avait déjà utilisé dans ses pièces antérieures, au premier rang desquels le thème de l'infidélité féminine, un poncif du genre depuis le Moyen Âge, et le quiproquo utilisé comme principal ressort dramatique[14]. ». Présentée au Festival d'Avignon en 1978, la mise en scène d'Antoine Vitez fut accueillie triomphalement par un public jeune et enthousiaste et avec consternation par la critique qui, presque unanimement, y vit une trahison de l'esprit de Molière[46]. Il provoque les réactions de la salle par ses tirades outrancières contre les femmes. En 1989, dans un livre tonitruand , les sociologues Christian Baudelot et Roger Establet répondaientà ceux qu'ils appelaient dédaigneusement " les pleureuses" l'école française se porte bien le niveau monte".. 27 ans ont passé, la querelle scolaire n'est certes pas éteinte. Le meilleur des sorties parisiennes chaque mercredi, Les spots du scope : les bons plans du Figaroscope, “L’allégresse du coeur s’augmente à la répandre.”, “L'amour rend agile à tout l'âme la plus pesante.”, “C’est nous inspirer presque un désir de pécher, Que montrer tant de soins de nous en empêcher.”, “Votre sexe n’est là que pour la dépendance : Du côté de la barbe est la toute puissance.”, “C’est une étrange entreprise que celle de faire rire les honnêtes gens.”, “Si n'être point cocu vous semble un si grand bien, Ne vous point marier en est le vrai moyen.”, “L'amour ne sait-il pas l'art d'aiguiser les esprits ?”, “Leur esprit est méchant, et leur âme fragile ; Il n'est rien de plus faible et de plus imbécile, Rien de plus infidèle et malgré tout cela, Dans le monde on fait tout pour ces animaux-là.”, “Il est généreux de se ranger du côté des affligés.”, “Les femmes sont plus chastes des oreilles que de tout le reste du corps.”. Pour se défendre Molière, dans "la critique de l’Ecole des Femmes", a écrit : "Lorsque vous peignez les hommes, il … En 1973, Raymond Rouleau réalise un téléfilm adapté de L'École des femmes[61] qui est diffusé pour la première fois sur la deuxième chaine de l'ORTF le 23 mai, soit quinze jours après la Première de la version théâtrale de Jean-Paul Roussillon. L'École des femmes fut jouée le mardi 26 décembre 1662 au théâtre du Palais-Royal. Arnolphe, qui n'apparaissait jamais comme un personnage ridicule, y était représenté comme une figure faustienne, qui avait projeté de façonner une jeune femme à son idée. La pièce de théâtre, novatrice par son mélange inédit des ressources de la farce et de la grande comédie en vers, est un immense succès, et suscite une série de débats connus sous le nom de « Querelle de L'École des femmes. L’ÉCOLE DES FEMMES De Molière sous-titres disponibles en anglais et en français (cliquez sur CC en bas à droite de la vidéo)… La pièce est pleine de sous-entendus grivois. Cela reflète une société où la femme est le jouet de l’homme. L’École des femmes est une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement quatre, cinq, cinq, neuf et neuf scènes) et en vers (1779 dont 1737 alexandrins), créée au théâtre du Palais-Royal le 26 décembre 1662. Éric Vigner mit en scène une nouvelle version de L'École des femmes pour la Comédie française en 1999, sur la sollicitation de son administrateur de l'époque, Jean-Pierre Miquel, à la recherche d'un nouveau souffle pour une pièce qui avait déjà été représentée 1586 fois par les comédiens français[52]. Arnolphe, tout en conservant certains traits de la tradition farcesque, apparait toutefois comme un homme intelligent qui jouit de l'estime du sage Chrysalde, mais qui est aveuglé par sa double présomption (s'élever au-dessus de sa condition en changeant de nom, dominer entièrement la femme qu'il veut épouser[11]), et dont la personnalité présente plusieurs facettes qui se révèlent au fil de l'intrigue. Galabru en fait beaucoup, mais c'est Galabru. En 1961 ce spectacle fut joué aux U.S.A au cours d'une tournée de trois mois dans plusieurs universités. Séance 2 Acte II, scène V, v. 558 à 587 Lecture analytique d’une scène de comédie. Une autre innovation apportée par Vitez consista dans le fait de donner le rôle d'Arnolphe à un jeune comédien (Didier Sandre), dont la violence dans la gestuelle et dans les intonations symbolisaient la violence des valeurs que véhicule le personnage d'Arnolphe. Représentée pour la première fois le mardi 26 décembre 1662 au théâtre du Palais-Royal, la pièce fut immédiatement un succès, la recette de la première s'élevant à 1 518 livres, ce qui était inédit jusqu'alors dans ce théâtre[29] (à titre de comparaison, une famille aux revenus modeste vivait avec 25 livres par mois[30].). En 1973, la Comédie-Française donna sa version de L'École des femmes, sous la direction de Jean-Paul Roussillon. Elle fut reprise le vendredi 1er juin de la même année, accompagnée de La Critique de l'École des femmes. L’École des femmes de Molière Au fil de la séquence Séances Supports Activités Séance 1 Acte I, scène I Analyse d’une scène d’exposition. » Cette querelle, habilement exploitée par Molière, lui donne l'occasion de répondre aux critiques qui lui sont adressées et de préciser son projet dramatique dans une comédie intitulée La Critique de l'École des femmes, représentée sur la scène du même théâtre au mois de juin de l'année suivante. On rit (jaune) en écoutant certaines répliques qui sonnent encore si juste, hélas, dans une grande partie du monde ! En quelle année à été écrite L'Ecole des Femmes? Retrouvez toutes les citations de Molière parmi des citations issues de discours de Molière, d'articles, d'extraits de livres et ouvrages de Molière. L'Ecole des femmes est bourré de quiproquos (la spécialité de Molière), avec des passages hilarants (surtout ceux du protagoniste et de ses deux valets qui sont un peu benêts sur les bords), d'autres plus choquants, voire perturbateurs. Elle ne le fut que le vendredi 1er juin, accompagnée de la Critique, ce qui constitua un évènement, les deux pièces battant des records de recette, celle-ci atteignant jusqu'à 1731 livres pour la représentation du 15 juin[33]. / Ma foi, je ris encore quand je vois ce portrait, Adaptations cinématographiques et télévisuelles, Rhapsodie au sens ancien « d'ouvrage en vers ou en prose fait de morceaux divers, mal liés entre eux » (Définition de rhapsodie sur le, En dehors d'Arnolphe, d'Agnès, d'Horace et de Chrysalde, la distribution des autres rôles n'est pas connue et ne peut faire l'objet que de conjectures. » Ce genre, depuis que Corneille avait abandonné la comédie sentimentale qu'il avait inventée (après La Place royale en 1634) était exclusivement cantonné à l'adaptation de pièces étrangères, principalement espagnoles et italiennes[22]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le double décor de la pièce, conçu par Christian Bérard, représentait un jardin qui s'ouvrait et s'avançait vers les spectateurs[38]. 1660. La jeune comédienne apporta à son personnage une dimension inédite, par sa jeunesse, la justesse et le naturel de son jeu, qui rendait visible la métamorphose d'une enfant qui se transforme peu à peu en femme[44]. Quant au nom d'Arnolphe, il évoquait clairement pour les contemporains Saint Arnoul des Yvelines, qu'une plaisanterie traditionnelle désignait comme étant le « patron des cocus[16],[N 6]. Les attaques furent ensuite essentiellement répercutées par de jeunes auteurs tels que Donneau de Visé qui, dans un texte extrait de ses Nouvelles nouvelles qui passe pour être le premier écrit consacré à cette querelle, se livre à une critique mesurée de la pièce, reprochant essentiellement à Molière d'avoir emprunté son sujet à d'autres auteurs[32]. De … L'Ecole des femmes (1662). Comparez la forme. Ne vous a-t-il point pris, Agnès, quelque autre chose... Représentée un an après L'École des maris, pièce à laquelle son titre semble faire écho, L'École des femmes lui fut évidemment comparée, d'autant plus que les deux pièces présentent une intrigue similaire (un mari jaloux qui tente de se préserver du cocuage, thème déjà abordé par Molière dans La Jalousie du barbouillé et dans Le Cocu imaginaire[8].) En effet, ce dernier est un personnage uniment et continuellement ridicule, pantin sans conscience et représentant typique de ces personnages conventionnels de vieillards amoureux hérités de la comédie italienne et de la farce française[10]. La conception de la femme : quelles différences et quelles similitudes y … Mais la mise en scène était essentiellement centrée sur Agnès-Isabelle Adjani, mettant en valeur par ses gros plans la beauté ingénue du visage de la jeune comédienne, qui interprétait un personnage dont la simplicité du caractère et la modestie des revendications émancipatrices formaient un étrange contraste avec les revendications réelles des féministes de l'époque, en pleine lutte pour le droit à l'avortement[63]. Molière n'oublie pas cette dimension morale dans L'École des femmes, qui pose la question de l'accès des femmes au savoir, de leur statut au sein de la famille et de la société, voire de leur éducation à la sexualité[24]. En effet, Molière, s'inspirant de celui de Tiberio Fiorilli avait introduit depuis Le Cocu imaginaire un type de jeu comique inédit jusqu'alors dans le théâtre français, constitué d'une large palette de mimiques et de grimaces, que le comédien utilisait pour ponctuer et souligner les répliques susceptibles d'être interprétées dans un sens obscène[16]. Le gazetier Jean Loret rendit compte d'une représentation pour le Roi dans sa lettre de la Muse historique du samedi 13 janvier 1663[N 8]. Claude Sarraute dans France Observateur souligne que "jamais Robert Marcy ne sacrifie au goût du gag le sens véritable d'un jeu de scène où l'objet [moderne] utilisé prend tout naturellement sa place"[42]. En filigrane, sans ancrer explicitement la pièce dans un contexte contemporain, la mise en scène de Maréchal (ainsi que le décor, blanc et lumineux, qui suggérait une place du pourtour méditerranéen) laissait entrevoir ce que le thème de la pièce avait de contemporain, dans un univers où les jeunes filles sont parfois encore soumises aux règles patriarcales[51]. En 1973, la pièce a également été mise en scène en suédois par Ingmar Bergman, qui en a tiré un téléfilm. Arnolphe était quant à lui interprété alternativement par deux comédiens, Pierre Dux et Michel Aumont, qui révélaient chacun une facette différente du personnage : l'homme fort cynique pour le premier, l'anxieux naïf et suffisant pour le second[44]. Haut de page. En cela, elle est très proche d'une farce. Les répliques des personnages de la pièce contiennent elles aussi de nombreuses allusions à caractère sexuel : ainsi de celle d'Alain qui, à la scène 2 du premier acte, indique vouloir « empêch[er], peur du chat, que [son] moineau ne sorte », le moineau étant une manière voilée de désigner le sexe masculin[17], ou de celles d'Agnès qui explique à Arnolphe avoir été inquiétée, la nuit, par les puces, ces dernières renvoyant, dans la littérature érotique et comique de l'époque, aux démangeaisons amoureuses[18]. C'est le 26 décembre 1662 qu'elle fut représentée la première fois au théâtre du Palais-Royal par la troupe de Monsieur (le frère du roi Louis XIV) dont Molière était le directeur. C'est à l'occasion de son évocation par le personnage de Climène dans La Critique de l'École des femmes que fut popularisé l'emploi du mot « obscénité », jusque-là peu usité[20] (Élise, l'entendant prononcer par Climène, indique d'ailleurs qu'elle « ne sai[t] ce que ce mot veut dire. Les termes de ce débat sont figurées dans la pièce par l'opposition entre les personnages d'Arnolphe, qui défend la position rigoriste des catholiques (notamment dans la scène 2 de l'acte III, au cours de laquelle il fait lire à Agnès les maximes sur les devoirs de la femme mariée, extraites du Catéchisme du Concile de Trente[26]), et de Chrysalde, qui défend la même position émancipatrice que l'essentiel de ce public mondain auquel s'adressait Molière, et dont la seule fonction dramatique consiste à faire ressortir par contrepoint le ridicule des conceptions d'Arnolphe[27]. Ouf. Les représentations suivantes confirmèrent ce succès, même après que la nouvelle tragédie de Corneille, Sophonisbe, avait été lancée à l'Hôtel de Bourgogne le 12 janvier 1663[29]. Il s'agissait, expliqua Vitez, de porter sur la scène « les différentes figures constitutives de l'univers moliéresque », quand bien même cela risquait d'uniformiser ces quatre pièces en en donnant une image « moyenne »[47]. Le décor et les costumes, de couleur brune, évoquaient la prison et le couvent, tandis que la mise en scène accentuait la dimension sadique du projet d'Arnolphe, envisagé par Roussillon comme un monstre plutôt que comme un homme ridicule, et qu'il comparait aux Occidentaux qui se rendent en Asie pour se trouver une épouse[45]. l ecole des femmes: citations sur l ecole des femmes parmi une collection de 100.000 citations. Fin 2011, Jacques Lassalle adapte pour la quatrième fois de sa carrière[57] la pièce de Molière, dans une mise en scène destinée à la Comédie-Française, avec Thierry Hancisse dans le rôle d'Arnolphe et Julie-Marie Parmentier dans celui d'Agnès[58]. L'École des femmes traite de l'infidélité féminine, et utilise particulièrement le principe du quiproquo comme ressort dramatique. L'une des meilleures mises en scène (Robert Manuel), en tout cas, la plus amusante. La plus célèbre des mises en scène modernes, celle de Louis Jouvet, renoua avec la veine comique initiale. Ce hiatus entre le caractère initial d'Agnès et sa métamorphose au cours de l'intrigue, qui passe aujourd'hui pour le signe de la profondeur psychologique du caractère de la jeune femme, est à l'époque de la création de la pièce critiqué par les détracteurs de Molière, qui qualifient pour cette raison L'École des femmes de « rhapsodie[N 5] »[7]. Placées sous l'invocation de Ménandre et de Térence (tandis que la farce et la commedia dell'arte étaient rattachées par les théoriciens à la tradition héritée de Plaute et d'Aristophane), les comédies n'avaient pas pour objectif principal de provoquer le rire - le comique y était intermittent, mêlé aux intrigues de héros de convention et aux grands sentiments[12] - mais d'édifier le spectateur en suivant le précepte horacien « placere et docere » (« plaire et instruire »)[23]. Entraînement à l’entretien oral. Arnolphe invite le bavard Horace à la terrasse du bistrot d’en face, Agnès n’est pas insensible aux accents d’une radio voisine, l'infortuné tuteur épie les amoureux à la lampe de poche, et finalement, tous ces gens heureux se rassemblent devant l’appareil photo du serviteur Alain, tandis qu’a disparu, noyé dans son chagrin et son dépit, le malheureux Arnolphe que l’interprétation de Robert Marcy a rendu plus poignant encore que grotesque. Le metteur en scène d'opéras Peter Sellars en fait sa marque dans les années 1980. « Plus je le vois et plus je le trouve bien fait. Or, les codes dramatiques de l'époque voulaient que le caractère des personnages n'évolue pas au cours de la pièce et qu'il reste au contraire conforme à celui avec lequel ils avaient été introduits[12]. La première transposition notable de L'École des femmes est la mise en scène de Robert Marcy en 1959 au Théâtre de Lutèce. 100% cotton Puff Sleeves Button Up Side hidden zipper Small - Bust 32 inches, Waist 26 inches, 36 inches Medium - Bust 33 inches, Waist 27 inches, 38 inches Large - Bust 34 inches, Waist 28 inches, 40 inches Elle y fut représentée trente et une fois jusqu'à la trêve de Pâques (le vendredi 9 mars 1663). Reprise de loin en loin au cours des années suivantes, la pièce fut jouée une dernière fois en 1669[34]. La dernière modification de cette page a été faite le 21 décembre 2020 à 15:00. Pour écrire l'histoire de cet homme qui, par crainte d'être trompé, décide d'épouser une ingénue, Molière s'inspire d'un canevas romanesque d'origine espagnole, la nouvelle de María de Zayas y Sotomayor intitulée « El prevenido engañado » (1637)[4], qu'avait traduite et adaptée Scarron en 1655 sous le titre de « La Précaution inutile[N 1] » (la même nouvelle est traduite à nouveau l'année suivante par Antoine Le Métel d'Ouville, sous le même titre[N 2].) L'Ecole des Femmes, Quiz. Fiche de lecture sur l’École des femmes, de Molière Deuxième partie : L'Ecole des femmes est-elle une pièce uniquement comique ? Rapidement, la pièce fut la cible d'attaques, suscitées peut-être par les frères Corneille qui auraient été informés par les lectures préalables que Molière avait dû faire de L'École des femmes qu'elle contenait des piques dirigés contre eux[29] (ainsi, selon l'abbé d'Aubignac, les remarques que fait Chrysalde dans la première scène de la pièce sur ce « paysan » « qui n'ayant, pour tout bien, qu'un seul quartier de terre, / Y fit tout à l'entour faire un fossé bourbeux, / Et de Monsieur de l'Isle en prit le nom pompeux », auraient visé Thomas Corneille, sieur de l'Isle[31].). Tout d’abord, on remarque l’usage de guillemets dans les répliques de la ligne 15 à la ligne 33 qui signalent que les personnages récitent un texte. En outre, Molière reprend vraisemblablement le motif du confident inapproprié (dans la pièce, Arnolphe pris comme confident par Horace) d'une nouvelle extraite du recueil italien du XVIe siècle intitulé Les Nuits facétieuses (traduites par Jean Louveau dans les dernières années du XVIe siècle), dû à la plume de l'écrivain Giovanni Francesco Straparola[N 4]. L’École des femmes, écrit par Molière, en 1622. ». En dépit de l'accueil critique catastrophique que reçut la tétralogie Molière de Vitez, celle-ci contribua à faire reconnaitre ce dernier comme le rénovateur du théâtre français, et contribua sans doute à sa nomination comme directeur du Théâtre de Chaillot[46].